Trophée des Champions : La réaction de Mickaël Olejnik
21.07.2013, 18:40
Le Polonais Mickaël Olejnik (USSA Pavilly Barentin) s'est imposé ce dimanche lors de la 15e édition du Trophée des Champions (Elite Nationale), 2e manche du Challenge d'Or-DirectVélo. Après 169.6 kilomètres de course autour de Civaux (Vienne), il devance les pros Franck Vermeulen (Roubaix-Lille Métropole) et Stéphane Rossetto (BigMat-Auber 93). Mickaël Olejnik succède au palmarès à son ancien coéquipier Freddy Bichot. Retrouvez ci-dessous la réaction du vainqueur, recueillie par www.directvelo.com.
Mickaël Olejnik (USSA Pavilly Barentin)
Vainqueur du Trophée des Champions
« En début de course, je n'ai pas eu de chance. J'ai été pris dans la grosse chute. Je ne suis rentré qu'au km 50 mais je n'étais pas encore devant à ce moment-là. Je devais me trouver dans un 4e groupe seulement. Je suis remonté de groupe en groupe. J'ai revu la tête de course au km 110. Puis j'ai attaqué. J'avais mon frère dans le groupe. Il y avait trop de monde à l'avant. On est sorti à quatre (avec Vermeulen, Rossetto et Fabio, NDLR).
C'était beaucoup mieux ainsi. On a bien roulé. Je savais que si on gardait 30'' au pied de la dernière bosse c'était bon. J'ai monté vite cette dernière côte avec Franck Vermeulen. J'en ai gardé un peu dans le final en attendant le sprint. Vermeulen a lancé à 400 mètres de la ligne. J'étais dans sa roue. Je suis passé à 200 mètres. Je me savais rapide dans un petit groupe au sprint. J'ai souvent terminé 2e mais pas cette année. C'est ma 4e victoire de la saison. Je n'avais pas peur de me faire attaquer dans la bosse car j'aime les courtes bosses comme celle de Solférino qui fait un kilomètre. J'avais juste peur de perdre au sprint. Je n'ai jamais baissé les bras, j'ai tout donné. Quand je suis revenu sur la tête de course, j'ai juste eu peur d'en avoir un peu trop fait mais les jambes étaient là. Je serai encore là ces deux prochains jours pour faire la course. »
Mickaël Olejnik (USSA Pavilly Barentin)
Vainqueur du Trophée des Champions
« En début de course, je n'ai pas eu de chance. J'ai été pris dans la grosse chute. Je ne suis rentré qu'au km 50 mais je n'étais pas encore devant à ce moment-là. Je devais me trouver dans un 4e groupe seulement. Je suis remonté de groupe en groupe. J'ai revu la tête de course au km 110. Puis j'ai attaqué. J'avais mon frère dans le groupe. Il y avait trop de monde à l'avant. On est sorti à quatre (avec Vermeulen, Rossetto et Fabio, NDLR).
C'était beaucoup mieux ainsi. On a bien roulé. Je savais que si on gardait 30'' au pied de la dernière bosse c'était bon. J'ai monté vite cette dernière côte avec Franck Vermeulen. J'en ai gardé un peu dans le final en attendant le sprint. Vermeulen a lancé à 400 mètres de la ligne. J'étais dans sa roue. Je suis passé à 200 mètres. Je me savais rapide dans un petit groupe au sprint. J'ai souvent terminé 2e mais pas cette année. C'est ma 4e victoire de la saison. Je n'avais pas peur de me faire attaquer dans la bosse car j'aime les courtes bosses comme celle de Solférino qui fait un kilomètre. J'avais juste peur de perdre au sprint. Je n'ai jamais baissé les bras, j'ai tout donné. Quand je suis revenu sur la tête de course, j'ai juste eu peur d'en avoir un peu trop fait mais les jambes étaient là. Je serai encore là ces deux prochains jours pour faire la course. »
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